Notre mission

L’ENS-PSL souhaitait consolider sa direction communication en ouvrant plusieurs postes. Nous avons accompagné cette phase de recrutement en appuyant l’établissement à chaque étape afin de faciliter le processus et d’aider à trouver les candidats les mieux qualifiés    

Nous intervenons sur la conception des fiches de postes et la rédaction, en passant par la diffusion des offres sur des plateformes appropriées. Nous effectuons ensuite une analyse des CV reçus et nous proposons des candidats au client.   

Nous organisons les rendez-vous avec les candidats et nous accompagnons l’établissement lors des entretiens. Lors de la phase finale nous soumettons un cas d’étude aux candidats short-listés  en fournissant des grilles d’analyse et des recommandations. Nous réalisons des debriefs pour les candidats non-retenus. En bref nous nous positionnons en soutien aux directions RH et communication, comme assistance à maitrise d’ouvrage plus que comme cabinet de recrutement. 

Témoignage client :

O’len Gaultier, Directrice communication

Qu’il s’agisse d’un renouvellement après un départ ou d’une création de poste, lorsqu’il nous revient de porter le processus, côté métier, on est légitimement inquiets du temps à mobiliser. Soucieux également des risques d’erreur, en dépit de l’accompagnement sans faille des collègues RH.

Face à la rareté des talents, à la moindre attractivité de certains secteurs  — coucou, le travail sur la marque employeur — et aux bouleversements des métiers de la communication, je crois fermement à l’intérêt de revoir nos pratiques dans ce champ là aussi. En l’espèce, il me semble utile d’élargir le cercle et de ne plus hésiter à se faire accompagner. Pour en avoir fait l’expérience à plusieurs reprises, la logique d’assistance à maîtrise d’ouvrage (AMO) peut s’appliquer avec bonheur au recrutement.

En ajoutant des forces qui connaissent nos organisations, connectées au marché des talents, on s’accorde et on offre aux candidats le temps nécessaire à un processus de qualité. Par processus de qualité, j’entends un processus objectivé, suivi et respectueux des attentes légitimes comme du temps de toutes les parties prenantes, à commencer par celui des candidats qui se projettent dans nos organisations.

Au-delà, en ouvrant un espace de discussion entre pairs, l’AMO pousse à remettre en question les fameux prérequis, à challenger nos biais – nous en avons toutes et tous -, à dessiner d’autres options ou à imaginer des alternatives heureuses. Elle permet aussi de structurer un vivier de candidates et de candidats qualifiés qui sera utile à d’autres postes, ailleurs dans l’organisation.

Rien que pour cela, les candidats comme nous et nos collègues des RH avons beaucoup à gagner à ne pas travailler seuls à nos recrutements. »