Ces derniers jours la presse française grand public (Le Monde, l’Etudiant, l’Obs…) s’est faite l’écho des ambitions de Linkedin en matière d’enseignement supérieur. Le réseau social a commencé à classer les universités en fonction de leur efficience à propulser leurs diplômés dans les meilleurs jobs.
Cette promesse, à l’heure où tous les autres classements privilégient des critères plus “académiques” (qualité recherche, nombre d’enseignants-chercheurs, partenariats internationaux…) et où la question de l’insertion pro est un enjeu toujours très fort, a suffit à susciter l’enthousiasme de nombreux observateurs et acteurs.
Pourtant si des milliers d’étudiants et d’alumni des établissements français sont déjà sur Linkedin, nous avons identifié 5 freins à l’adoption massive de ce réseau par les universités et les écoles.
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